Les carquois les plus anciens (XIe siècle) devaient être des poches souples, plus utiles pour le transport que pour le combat. En effet la mollesse du contenant ne devait pas faciliter leur accessibilité et où il était plus aisé de les passer dans sa ceinture. Les archers, ayant des flèches plus longue les plantaient devant eux.
Plus tard (fin XIIIe, début XIVe siècle) les trousses sont toujours souples, en peau avec ses poils, mais dont l'entrée est constitué d'un cadre rigide, recouvert de cuir.
L'idée m'est donc venu de les réaliser de façon rigide, à l'instar des fourreaux d'épées : forme en bois (contreplaqué de peuplier, hêtre pour le fond arrondi), puis recouvert de cuir, tannée végétal, moulé sur des motifs décoratifs. Le "baudrier" parcourant le sommet du carquois et muni d'une longue ceinture permettant de le porter en sautoir (comme on peut le voir sur un chapiteau de la fin du XIIe siècle, du cloître de l'ancienne abbaye bénédictine de Saint-Pé-de-Bigorre).
La mise en forme du bois humide s'est effectuée avec une mise en forme par des étriers spécialement créé et un temps de séchage adapté. Le fond a été poncé et creusé… patiemment.
Un petit tableau Excel tient compte de l'épaisseur du cuir pour effectuer la découpe avant recouvrement. Le patron papier ne peut ressembler au cuir.
Les coutures sont réalisées en lin, au point sellier.
La couleur est restée neutre à la demande du futur propriétaire. J'ai tout de même fait ressortir les détails à la façon apprise de façon amicale par Robin, par un bronzage. Merci à lui.
Les carquois les plus anciens (XIe siècle) devaient être des poches souples, plus utiles pour le transport que pour le combat. En effet la mollesse du contenant ne devait pas faciliter leur accessibilité et où il était plus aisé de les passer dans sa ceinture. Les archers, ayant des flèches plus longue les plantaient devant eux.
Plus tard (fin XIIIe, début XIVe siècle) les trousses sont toujours souples, en peau avec ses poils, mais dont l'entrée est constitué d'un cadre rigide, recouvert de cuir.
L'idée m'est donc venu de les réaliser de façon rigide, à l'instar des fourreaux d'épées : forme en bois (contreplaqué de peuplier, hêtre pour le fond arrondi), puis recouvert de cuir, tannée végétal, moulé sur des motifs décoratifs. Le "baudrier" parcourant le sommet du carquois et muni d'une longue ceinture permettant de le porter en sautoir (comme on peut le voir sur un chapiteau de la fin du XIIe siècle, du cloître de l'ancienne abbaye bénédictine de Saint-Pé-de-Bigorre).
La mise en forme du bois humide s'est effectuée avec une mise en forme par des étriers spécialement créé et un temps de séchage adapté. Le fond a été poncé et creusé… patiemment.
Un petit tableau Excel tient compte de l'épaisseur du cuir pour effectuer la découpe avant recouvrement. Le patron papier ne peut ressembler au cuir.
Les coutures sont réalisées en lin, au point sellier.
La couleur est restée neutre à la demande du futur propriétaire. J'ai tout de même fait ressortir les détails à la façon apprise de façon amicale par Robin, par un bronzage. Merci à lui.
Les carquois les plus anciens (XIe siècle) devaient être des poches souples, plus utiles pour le transport que pour le combat. En effet la mollesse du contenant ne devait pas faciliter leur accessibilité et où il était plus aisé de les passer dans sa ceinture. Les archers, ayant des flèches plus longue les plantaient devant eux.
Plus tard (fin XIIIe, début XIVe siècle) les trousses sont toujours souples, en peau avec ses poils, mais dont l'entrée est constitué d'un cadre rigide, recouvert de cuir.
L'idée m'est donc venu de les réaliser de façon rigide, à l'instar des fourreaux d'épées : forme en bois (contreplaqué de peuplier, hêtre pour le fond arrondi), puis recouvert de cuir, tannée végétal, moulé sur des motifs décoratifs. Le "baudrier" parcourant le sommet du carquois et muni d'une longue ceinture permettant de le porter en sautoir (comme on peut le voir sur un chapiteau de la fin du XIIe siècle, du cloître de l'ancienne abbaye bénédictine de Saint-Pé-de-Bigorre).
La mise en forme du bois humide s'est effectuée avec une mise en forme par des étriers spécialement créé et un temps de séchage adapté. Le fond a été poncé et creusé… patiemment.
Un petit tableau Excel tient compte de l'épaisseur du cuir pour effectuer la découpe avant recouvrement. Le patron papier ne peut ressembler au cuir.
Les coutures sont réalisées en lin, au point sellier.
La couleur est restée neutre à la demande du futur propriétaire. J'ai tout de même fait ressortir les détails à la façon apprise de façon amicale par Robin, par un bronzage. Merci à lui.
Les carquois les plus anciens (XIe siècle) devaient être des poches souples, plus utiles pour le transport que pour le combat. En effet la mollesse du contenant ne devait pas faciliter leur accessibilité et où il était plus aisé de les passer dans sa ceinture. Les archers, ayant des flèches plus longue les plantaient devant eux.
Plus tard (fin XIIIe, début XIVe siècle) les trousses sont toujours souples, en peau avec ses poils, mais dont l'entrée est constitué d'un cadre rigide, recouvert de cuir.
L'idée m'est donc venu de les réaliser de façon rigide, à l'instar des fourreaux d'épées : forme en bois (contreplaqué de peuplier, hêtre pour le fond arrondi), puis recouvert de cuir, tannée végétal, moulé sur des motifs décoratifs. Le "baudrier" parcourant le sommet du carquois et muni d'une longue ceinture permettant de le porter en sautoir (comme on peut le voir sur un chapiteau de la fin du XIIe siècle, du cloître de l'ancienne abbaye bénédictine de Saint-Pé-de-Bigorre).
La mise en forme du bois humide s'est effectuée avec une mise en forme par des étriers spécialement créé et un temps de séchage adapté. Le fond a été poncé et creusé… patiemment.
Un petit tableau Excel tient compte de l'épaisseur du cuir pour effectuer la découpe avant recouvrement. Le patron papier ne peut ressembler au cuir.
Les coutures sont réalisées en lin, au point sellier.
La couleur est restée neutre à la demande du futur propriétaire. J'ai tout de même fait ressortir les détails à la façon apprise de façon amicale par Robin, par un bronzage. Merci à lui.
Les carquois les plus anciens (XIe siècle) devaient être des poches souples, plus utiles pour le transport que pour le combat. En effet la mollesse du contenant ne devait pas faciliter leur accessibilité et où il était plus aisé de les passer dans sa ceinture. Les archers, ayant des flèches plus longue les plantaient devant eux.
Plus tard (fin XIIIe, début XIVe siècle) les trousses sont toujours souples, en peau avec ses poils, mais dont l'entrée est constitué d'un cadre rigide, recouvert de cuir.
L'idée m'est donc venu de les réaliser de façon rigide, à l'instar des fourreaux d'épées : forme en bois (contreplaqué de peuplier, hêtre pour le fond arrondi), puis recouvert de cuir, tannée végétal, moulé sur des motifs décoratifs. Le "baudrier" parcourant le sommet du carquois et muni d'une longue ceinture permettant de le porter en sautoir (comme on peut le voir sur un chapiteau de la fin du XIIe siècle, du cloître de l'ancienne abbaye bénédictine de Saint-Pé-de-Bigorre).
La mise en forme du bois humide s'est effectuée avec une mise en forme par des étriers spécialement créé et un temps de séchage adapté. Le fond a été poncé et creusé… patiemment.
Un petit tableau Excel tient compte de l'épaisseur du cuir pour effectuer la découpe avant recouvrement. Le patron papier ne peut ressembler au cuir.
Les coutures sont réalisées en lin, au point sellier.
La couleur est restée neutre à la demande du futur propriétaire. J'ai tout de même fait ressortir les détails à la façon apprise de façon amicale par Robin, par un bronzage. Merci à lui.
Les carquois les plus anciens (XIe siècle) devaient être des poches souples, plus utiles pour le transport que pour le combat. En effet la mollesse du contenant ne devait pas faciliter leur accessibilité et où il était plus aisé de les passer dans sa ceinture. Les archers, ayant des flèches plus longue les plantaient devant eux.
Plus tard (fin XIIIe, début XIVe siècle) les trousses sont toujours souples, en peau avec ses poils, mais dont l'entrée est constitué d'un cadre rigide, recouvert de cuir.
L'idée m'est donc venu de les réaliser de façon rigide, à l'instar des fourreaux d'épées : forme en bois (contreplaqué de peuplier, hêtre pour le fond arrondi), puis recouvert de cuir, tannée végétal, moulé sur des motifs décoratifs. Le "baudrier" parcourant le sommet du carquois et muni d'une longue ceinture permettant de le porter en sautoir (comme on peut le voir sur un chapiteau de la fin du XIIe siècle, du cloître de l'ancienne abbaye bénédictine de Saint-Pé-de-Bigorre).
La mise en forme du bois humide s'est effectuée avec une mise en forme par des étriers spécialement créé et un temps de séchage adapté. Le fond a été poncé et creusé… patiemment.
Un petit tableau Excel tient compte de l'épaisseur du cuir pour effectuer la découpe avant recouvrement. Le patron papier ne peut ressembler au cuir.
Les coutures sont réalisées en lin, au point sellier.
La couleur est restée neutre à la demande du futur propriétaire. J'ai tout de même fait ressortir les détails à la façon apprise de façon amicale par Robin, par un bronzage. Merci à lui.
Les carquois les plus anciens (XIe siècle) devaient être des poches souples, plus utiles pour le transport que pour le combat. En effet la mollesse du contenant ne devait pas faciliter leur accessibilité et où il était plus aisé de les passer dans sa ceinture. Les archers, ayant des flèches plus longue les plantaient devant eux.
Plus tard (fin XIIIe, début XIVe siècle) les trousses sont toujours souples, en peau avec ses poils, mais dont l'entrée est constitué d'un cadre rigide, recouvert de cuir.
L'idée m'est donc venu de les réaliser de façon rigide, à l'instar des fourreaux d'épées : forme en bois (contreplaqué de peuplier, hêtre pour le fond arrondi), puis recouvert de cuir, tannée végétal, moulé sur des motifs décoratifs. Le "baudrier" parcourant le sommet du carquois et muni d'une longue ceinture permettant de le porter en sautoir (comme on peut le voir sur un chapiteau de la fin du XIIe siècle, du cloître de l'ancienne abbaye bénédictine de Saint-Pé-de-Bigorre).
La mise en forme du bois humide s'est effectuée avec une mise en forme par des étriers spécialement créé et un temps de séchage adapté. Le fond a été poncé et creusé… patiemment.
Un petit tableau Excel tient compte de l'épaisseur du cuir pour effectuer la découpe avant recouvrement. Le patron papier ne peut ressembler au cuir.
Les coutures sont réalisées en lin, au point sellier.
La couleur est restée neutre à la demande du futur propriétaire. J'ai tout de même fait ressortir les détails à la façon apprise de façon amicale par Robin, par un bronzage. Merci à lui.
Les carquois les plus anciens (XIe siècle) devaient être des poches souples, plus utiles pour le transport que pour le combat. En effet la mollesse du contenant ne devait pas faciliter leur accessibilité et où il était plus aisé de les passer dans sa ceinture. Les archers, ayant des flèches plus longue les plantaient devant eux.
Plus tard (fin XIIIe, début XIVe siècle) les trousses sont toujours souples, en peau avec ses poils, mais dont l'entrée est constitué d'un cadre rigide, recouvert de cuir.
L'idée m'est donc venu de les réaliser de façon rigide, à l'instar des fourreaux d'épées : forme en bois (contreplaqué de peuplier, hêtre pour le fond arrondi), puis recouvert de cuir, tannée végétal, moulé sur des motifs décoratifs. Le "baudrier" parcourant le sommet du carquois et muni d'une longue ceinture permettant de le porter en sautoir (comme on peut le voir sur un chapiteau de la fin du XIIe siècle, du cloître de l'ancienne abbaye bénédictine de Saint-Pé-de-Bigorre).
La mise en forme du bois humide s'est effectuée avec une mise en forme par des étriers spécialement créé et un temps de séchage adapté. Le fond a été poncé et creusé… patiemment.
Un petit tableau Excel tient compte de l'épaisseur du cuir pour effectuer la découpe avant recouvrement. Le patron papier ne peut ressembler au cuir.
Les coutures sont réalisées en lin, au point sellier.
La couleur est restée neutre à la demande du futur propriétaire. J'ai tout de même fait ressortir les détails à la façon apprise de façon amicale par Robin, par un bronzage. Merci à lui.
Les carquois les plus anciens (XIe siècle) devaient être des poches souples, plus utiles pour le transport que pour le combat. En effet la mollesse du contenant ne devait pas faciliter leur accessibilité et où il était plus aisé de les passer dans sa ceinture. Les archers, ayant des flèches plus longue les plantaient devant eux.
Plus tard (fin XIIIe, début XIVe siècle) les trousses sont toujours souples, en peau avec ses poils, mais dont l'entrée est constitué d'un cadre rigide, recouvert de cuir.
L'idée m'est donc venu de les réaliser de façon rigide, à l'instar des fourreaux d'épées : forme en bois (contreplaqué de peuplier, hêtre pour le fond arrondi), puis recouvert de cuir, tannée végétal, moulé sur des motifs décoratifs. Le "baudrier" parcourant le sommet du carquois et muni d'une longue ceinture permettant de le porter en sautoir (comme on peut le voir sur un chapiteau de la fin du XIIe siècle, du cloître de l'ancienne abbaye bénédictine de Saint-Pé-de-Bigorre).
La mise en forme du bois humide s'est effectuée avec une mise en forme par des étriers spécialement créé et un temps de séchage adapté. Le fond a été poncé et creusé… patiemment.
Un petit tableau Excel tient compte de l'épaisseur du cuir pour effectuer la découpe avant recouvrement. Le patron papier ne peut ressembler au cuir.
Les coutures sont réalisées en lin, au point sellier.
La couleur est restée neutre à la demande du futur propriétaire. J'ai tout de même fait ressortir les détails à la façon apprise de façon amicale par Robin, par un bronzage. Merci à lui.
La boucle est fabriquée par JME reproduction.