Travaux et créations

Un oratoire pour la tente du chevalier

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Christ du XIIe siècle, le Majestat Batlló (1150)

Pour que le Chevalier puisse se recueillir, nous avons choisi comme oratoire, un Crucifix de dimension réduite. Celui-ci, une réplique en bois et résine, est directement inspiré du Christ catalan, le Majestat Battló, conservé au musée national d'Art de Catalogne à Barcelone.

Ce Christ est habillé, comme les Christ Catalans du XIIe siècle. Il porte une tunique large (tunica manicata), serrée à la ceinture. Elle est polychrome avec des cercles de couleur rouge sur fond bleu et des motifs végétaux clairement d'influence orientale/byzantine.

Il a les yeux ouverts, il est en majesté, sans signe de douleur. Cette représentation a été la plus fréquente durant tout le XIIe siècle.

La croix est peinte avec des franges bleues, blanches et rouges et présente, dans la partie supérieure, l'inscription "JHS NAZARENUS REX IUDEORUM (Jésus de Nazareth Roi des Juifs)". Au revers de la croix et en son centre, on trouve des restes de peinture d'un Agnus Dei.

Le socle est lui imaginaire, puisque le Christ de Barlecone est suspendu (1m x 1 m). Il reprend les croisées décorant le petit côté de la croix. Les lettres grèques Alpha et Oméga, sont associées au Christ, "Je suis l'alpha et l'oméga, le premier et le dernier, le commencement et la fin (Apocalypse 21:6).

La peinture a été réalisée par notre ami figuriniste, M. Jean-Claude Frayssine, dit le Marquis.

Voici quelques photos de l'original, suivi de notre modeste approche de ce chef d'oeuvre féodal.

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le Majestat Batlló

Tel qu'il est visible au Musée de Barcelonne.

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Le visage

Le Christ est en vie (yeux ouverts), serein. Il est dit en majesté.

 

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Détail de la robe

Elle serait inspirée d'une tunique orientale/musulmane ou bysantine.

Et notre réalisation ...

 

Un carquois d'Arbalète XIIe siècle

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Mise en forme du bois humide à l'aide d'étriers spécifiques

Les carquois les plus anciens (XIe siècle) devaient être des poches souples, plus utiles pour le transport que pour le combat. En effet la mollesse du contenant ne devait pas faciliter leur accessibilité et où il était plus aisé de les passer dans sa ceinture. Les archers, ayant des flèches plus longue les plantaient devant eux.

Plus tard (fin XIIIe, début XIVe siècle) les trousses sont toujours souples, en peau avec ses poils, mais dont l'entrée est constitué d'un cadre rigide, recouvert de cuir.

L'idée m'est donc venu de les réaliser de façon rigide, à l'instar des fourreaux d'épées : forme en bois (contreplaqué de peuplier, hêtre pour le fond arrondi), puis recouvert de cuir, tannée végétal, moulé sur des motifs décoratifs. Le "baudrier" parcourant le sommet du carquois et muni d'une longue ceinture permettant de le porter en sautoir (comme on peut le voir sur un chapiteau de la fin du XIIe siècle, du cloître de l'ancienne abbaye bénédictine de Saint-Pé-de-Bigorre).

La mise en forme du bois humide s'est effectuée avec une mise en forme par des étriers spécialement créé et un temps de séchage adapté. Le fond a été poncé et creusé… patiemment.

Un petit tableau Excel tient compte de l'épaisseur du cuir pour effectuer la découpe avant recouvrement. Le patron papier ne peut ressembler au cuir.

Les coutures sont réalisées en lin, au point sellier.

La couleur est restée neutre à la demande du futur propriétaire. J'ai tout de même fait ressortir les détails à la façon apprise de façon amicale par Robin, par un bronzage. Merci à lui.

Scupture du fond dans une pièce de bois

Les carquois les plus anciens (XIe siècle) devaient être des poches souples, plus utiles pour le transport que pour le combat. En effet la mollesse du contenant ne devait pas faciliter leur accessibilité et où il était plus aisé de les passer dans sa ceinture. Les archers, ayant des flèches plus longue les plantaient devant eux.

Plus tard (fin XIIIe, début XIVe siècle) les trousses sont toujours souples, en peau avec ses poils, mais dont l'entrée est constitué d'un cadre rigide, recouvert de cuir.

L'idée m'est donc venu de les réaliser de façon rigide, à l'instar des fourreaux d'épées : forme en bois (contreplaqué de peuplier, hêtre pour le fond arrondi), puis recouvert de cuir, tannée végétal, moulé sur des motifs décoratifs. Le "baudrier" parcourant le sommet du carquois et muni d'une longue ceinture permettant de le porter en sautoir (comme on peut le voir sur un chapiteau de la fin du XIIe siècle, du cloître de l'ancienne abbaye bénédictine de Saint-Pé-de-Bigorre).

La mise en forme du bois humide s'est effectuée avec une mise en forme par des étriers spécialement créé et un temps de séchage adapté. Le fond a été poncé et creusé… patiemment.

Un petit tableau Excel tient compte de l'épaisseur du cuir pour effectuer la découpe avant recouvrement. Le patron papier ne peut ressembler au cuir.

Les coutures sont réalisées en lin, au point sellier.

La couleur est restée neutre à la demande du futur propriétaire. J'ai tout de même fait ressortir les détails à la façon apprise de façon amicale par Robin, par un bronzage. Merci à lui.

Modelage du cuir sur la forme en bois

Les carquois les plus anciens (XIe siècle) devaient être des poches souples, plus utiles pour le transport que pour le combat. En effet la mollesse du contenant ne devait pas faciliter leur accessibilité et où il était plus aisé de les passer dans sa ceinture. Les archers, ayant des flèches plus longue les plantaient devant eux.

Plus tard (fin XIIIe, début XIVe siècle) les trousses sont toujours souples, en peau avec ses poils, mais dont l'entrée est constitué d'un cadre rigide, recouvert de cuir.

L'idée m'est donc venu de les réaliser de façon rigide, à l'instar des fourreaux d'épées : forme en bois (contreplaqué de peuplier, hêtre pour le fond arrondi), puis recouvert de cuir, tannée végétal, moulé sur des motifs décoratifs. Le "baudrier" parcourant le sommet du carquois et muni d'une longue ceinture permettant de le porter en sautoir (comme on peut le voir sur un chapiteau de la fin du XIIe siècle, du cloître de l'ancienne abbaye bénédictine de Saint-Pé-de-Bigorre).

La mise en forme du bois humide s'est effectuée avec une mise en forme par des étriers spécialement créé et un temps de séchage adapté. Le fond a été poncé et creusé… patiemment.

Un petit tableau Excel tient compte de l'épaisseur du cuir pour effectuer la découpe avant recouvrement. Le patron papier ne peut ressembler au cuir.

Les coutures sont réalisées en lin, au point sellier.

La couleur est restée neutre à la demande du futur propriétaire. J'ai tout de même fait ressortir les détails à la façon apprise de façon amicale par Robin, par un bronzage. Merci à lui.

Motage des motifs décoratifs et des gorges de guidage pour le baudrier

Les carquois les plus anciens (XIe siècle) devaient être des poches souples, plus utiles pour le transport que pour le combat. En effet la mollesse du contenant ne devait pas faciliter leur accessibilité et où il était plus aisé de les passer dans sa ceinture. Les archers, ayant des flèches plus longue les plantaient devant eux.

Plus tard (fin XIIIe, début XIVe siècle) les trousses sont toujours souples, en peau avec ses poils, mais dont l'entrée est constitué d'un cadre rigide, recouvert de cuir.

L'idée m'est donc venu de les réaliser de façon rigide, à l'instar des fourreaux d'épées : forme en bois (contreplaqué de peuplier, hêtre pour le fond arrondi), puis recouvert de cuir, tannée végétal, moulé sur des motifs décoratifs. Le "baudrier" parcourant le sommet du carquois et muni d'une longue ceinture permettant de le porter en sautoir (comme on peut le voir sur un chapiteau de la fin du XIIe siècle, du cloître de l'ancienne abbaye bénédictine de Saint-Pé-de-Bigorre).

La mise en forme du bois humide s'est effectuée avec une mise en forme par des étriers spécialement créé et un temps de séchage adapté. Le fond a été poncé et creusé… patiemment.

Un petit tableau Excel tient compte de l'épaisseur du cuir pour effectuer la découpe avant recouvrement. Le patron papier ne peut ressembler au cuir.

Les coutures sont réalisées en lin, au point sellier.

La couleur est restée neutre à la demande du futur propriétaire. J'ai tout de même fait ressortir les détails à la façon apprise de façon amicale par Robin, par un bronzage. Merci à lui.

Moulage du cuir sur les formes

Les carquois les plus anciens (XIe siècle) devaient être des poches souples, plus utiles pour le transport que pour le combat. En effet la mollesse du contenant ne devait pas faciliter leur accessibilité et où il était plus aisé de les passer dans sa ceinture. Les archers, ayant des flèches plus longue les plantaient devant eux.

Plus tard (fin XIIIe, début XIVe siècle) les trousses sont toujours souples, en peau avec ses poils, mais dont l'entrée est constitué d'un cadre rigide, recouvert de cuir.

L'idée m'est donc venu de les réaliser de façon rigide, à l'instar des fourreaux d'épées : forme en bois (contreplaqué de peuplier, hêtre pour le fond arrondi), puis recouvert de cuir, tannée végétal, moulé sur des motifs décoratifs. Le "baudrier" parcourant le sommet du carquois et muni d'une longue ceinture permettant de le porter en sautoir (comme on peut le voir sur un chapiteau de la fin du XIIe siècle, du cloître de l'ancienne abbaye bénédictine de Saint-Pé-de-Bigorre).

La mise en forme du bois humide s'est effectuée avec une mise en forme par des étriers spécialement créé et un temps de séchage adapté. Le fond a été poncé et creusé… patiemment.

Un petit tableau Excel tient compte de l'épaisseur du cuir pour effectuer la découpe avant recouvrement. Le patron papier ne peut ressembler au cuir.

Les coutures sont réalisées en lin, au point sellier.

La couleur est restée neutre à la demande du futur propriétaire. J'ai tout de même fait ressortir les détails à la façon apprise de façon amicale par Robin, par un bronzage. Merci à lui.

Mise en couleurs

Les carquois les plus anciens (XIe siècle) devaient être des poches souples, plus utiles pour le transport que pour le combat. En effet la mollesse du contenant ne devait pas faciliter leur accessibilité et où il était plus aisé de les passer dans sa ceinture. Les archers, ayant des flèches plus longue les plantaient devant eux.

Plus tard (fin XIIIe, début XIVe siècle) les trousses sont toujours souples, en peau avec ses poils, mais dont l'entrée est constitué d'un cadre rigide, recouvert de cuir.

L'idée m'est donc venu de les réaliser de façon rigide, à l'instar des fourreaux d'épées : forme en bois (contreplaqué de peuplier, hêtre pour le fond arrondi), puis recouvert de cuir, tannée végétal, moulé sur des motifs décoratifs. Le "baudrier" parcourant le sommet du carquois et muni d'une longue ceinture permettant de le porter en sautoir (comme on peut le voir sur un chapiteau de la fin du XIIe siècle, du cloître de l'ancienne abbaye bénédictine de Saint-Pé-de-Bigorre).

La mise en forme du bois humide s'est effectuée avec une mise en forme par des étriers spécialement créé et un temps de séchage adapté. Le fond a été poncé et creusé… patiemment.

Un petit tableau Excel tient compte de l'épaisseur du cuir pour effectuer la découpe avant recouvrement. Le patron papier ne peut ressembler au cuir.

Les coutures sont réalisées en lin, au point sellier.

La couleur est restée neutre à la demande du futur propriétaire. J'ai tout de même fait ressortir les détails à la façon apprise de façon amicale par Robin, par un bronzage. Merci à lui.

Mise en couleurs

Les carquois les plus anciens (XIe siècle) devaient être des poches souples, plus utiles pour le transport que pour le combat. En effet la mollesse du contenant ne devait pas faciliter leur accessibilité et où il était plus aisé de les passer dans sa ceinture. Les archers, ayant des flèches plus longue les plantaient devant eux.

Plus tard (fin XIIIe, début XIVe siècle) les trousses sont toujours souples, en peau avec ses poils, mais dont l'entrée est constitué d'un cadre rigide, recouvert de cuir.

L'idée m'est donc venu de les réaliser de façon rigide, à l'instar des fourreaux d'épées : forme en bois (contreplaqué de peuplier, hêtre pour le fond arrondi), puis recouvert de cuir, tannée végétal, moulé sur des motifs décoratifs. Le "baudrier" parcourant le sommet du carquois et muni d'une longue ceinture permettant de le porter en sautoir (comme on peut le voir sur un chapiteau de la fin du XIIe siècle, du cloître de l'ancienne abbaye bénédictine de Saint-Pé-de-Bigorre).

La mise en forme du bois humide s'est effectuée avec une mise en forme par des étriers spécialement créé et un temps de séchage adapté. Le fond a été poncé et creusé… patiemment.

Un petit tableau Excel tient compte de l'épaisseur du cuir pour effectuer la découpe avant recouvrement. Le patron papier ne peut ressembler au cuir.

Les coutures sont réalisées en lin, au point sellier.

La couleur est restée neutre à la demande du futur propriétaire. J'ai tout de même fait ressortir les détails à la façon apprise de façon amicale par Robin, par un bronzage. Merci à lui.

Mise en couleurs et pochette souple interne/externe

Les carquois les plus anciens (XIe siècle) devaient être des poches souples, plus utiles pour le transport que pour le combat. En effet la mollesse du contenant ne devait pas faciliter leur accessibilité et où il était plus aisé de les passer dans sa ceinture. Les archers, ayant des flèches plus longue les plantaient devant eux.

Plus tard (fin XIIIe, début XIVe siècle) les trousses sont toujours souples, en peau avec ses poils, mais dont l'entrée est constitué d'un cadre rigide, recouvert de cuir.

L'idée m'est donc venu de les réaliser de façon rigide, à l'instar des fourreaux d'épées : forme en bois (contreplaqué de peuplier, hêtre pour le fond arrondi), puis recouvert de cuir, tannée végétal, moulé sur des motifs décoratifs. Le "baudrier" parcourant le sommet du carquois et muni d'une longue ceinture permettant de le porter en sautoir (comme on peut le voir sur un chapiteau de la fin du XIIe siècle, du cloître de l'ancienne abbaye bénédictine de Saint-Pé-de-Bigorre).

La mise en forme du bois humide s'est effectuée avec une mise en forme par des étriers spécialement créé et un temps de séchage adapté. Le fond a été poncé et creusé… patiemment.

Un petit tableau Excel tient compte de l'épaisseur du cuir pour effectuer la découpe avant recouvrement. Le patron papier ne peut ressembler au cuir.

Les coutures sont réalisées en lin, au point sellier.

La couleur est restée neutre à la demande du futur propriétaire. J'ai tout de même fait ressortir les détails à la façon apprise de façon amicale par Robin, par un bronzage. Merci à lui.

Mise en couleurs et boucle dite "Cabaret XIIIe siècle"

Les carquois les plus anciens (XIe siècle) devaient être des poches souples, plus utiles pour le transport que pour le combat. En effet la mollesse du contenant ne devait pas faciliter leur accessibilité et où il était plus aisé de les passer dans sa ceinture. Les archers, ayant des flèches plus longue les plantaient devant eux.

Plus tard (fin XIIIe, début XIVe siècle) les trousses sont toujours souples, en peau avec ses poils, mais dont l'entrée est constitué d'un cadre rigide, recouvert de cuir.

L'idée m'est donc venu de les réaliser de façon rigide, à l'instar des fourreaux d'épées : forme en bois (contreplaqué de peuplier, hêtre pour le fond arrondi), puis recouvert de cuir, tannée végétal, moulé sur des motifs décoratifs. Le "baudrier" parcourant le sommet du carquois et muni d'une longue ceinture permettant de le porter en sautoir (comme on peut le voir sur un chapiteau de la fin du XIIe siècle, du cloître de l'ancienne abbaye bénédictine de Saint-Pé-de-Bigorre).

La mise en forme du bois humide s'est effectuée avec une mise en forme par des étriers spécialement créé et un temps de séchage adapté. Le fond a été poncé et creusé… patiemment.

Un petit tableau Excel tient compte de l'épaisseur du cuir pour effectuer la découpe avant recouvrement. Le patron papier ne peut ressembler au cuir.

Les coutures sont réalisées en lin, au point sellier.

La couleur est restée neutre à la demande du futur propriétaire. J'ai tout de même fait ressortir les détails à la façon apprise de façon amicale par Robin, par un bronzage. Merci à lui.

La boucle est fabriquée par JME reproduction.

 
carquois en sautoir
 

Chapiteau de Saint-Pé-de-Bigorre (65), ancienne abbaye bénédictine Saint-Pierre-de-Générez, remployée de nos jour. On y distingue le port en sautoir du carquois et une

Señal_real_de_Aragón_en_el_Vidal_Mayor_(Fueros_de_Aragón,_Huesca,_s_XIII)

L'arbalétrier porte un carquois rigide, dont le "baudrier" est constitué par des lanières croisées, comme celui d'un épée.

(Señal real de Aragón en el Vidal Mayor (Fueros de Aragón, Huesca, document du 13e siècle).

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Un Carquoi plus généralisé probablement, un simple sac de toile...Mais peu pratique pour saisir les flèche, celui-ne devrais servir que pour le transport. Pour le combat, l'arbalètrier a glissé ses carreaux dans la ceinture (Osprey edition).